Neuf ans après la sortie du premier Crashlands, Butterscotch Shenanigans lance la suite de ce jeu de survie en avril 2025. L’histoire ramène Flux sur Woanope après qu’une explosion provoque le crash de son vaisseau. Le joueur se retrouve alors dans une région inconnue dont il doit percer les secrets.
Dans cet article, découvrez les améliorations qu’apporte Crashalands 2.
Un gameplay enrichi : entre crafting et exploration
Bien que les mécaniques de jeu de Crashlands 2 aient été repensées, ils ne dépaysent pas le joueur, du moins s’il a déjà joué au premier opus. Côté crafting, la vue isométrique permet désormais de construire des structures complètes, jusqu’au toit, puis de les décorer à sa sauce.
Fini le monde généré de manière procédurale, tout Woanope est entièrement fait à la main. Vous avez beaucoup plus de biomes avec chacun leurs spécificités. Par exemple, les créatures peuvent avoir une réaction inattendue à certains stimuli. Les développeurs encouragent d’ailleurs les joueurs à fouiller chaque recoin et à récolter toutes les ressources, sans en laisser aucun.
Explorer une planète vivante entraine régulièrement des affrontements. Heureusement, le système de combat bénéficie de plus de dynamisme et de souplesse, à la manière de ce qui se fait dans les RPG. Esquiver, viser et utiliser une variété d’armes, de pièges ou d’équipements, le jouer peut choisir son style de jeu.
En ce qui concerne la trame, Butterscotch Shenanigans a opté pour une approche plus narrative. L’histoire de Flux est désormais plus introspective, sans pour autant exclure les dialogues décalés. Elle repose sur un objectif clair, qui est de retrouver ses amis disparus après le crash.
Des mécaniques de progression innovantes
Les joueurs peuvent améliorer l’Infinisuite grâce aux Juice Jems. Ces ressources rares permettent de débloquer des compétences spécifiques ou encore d’augmenter les statistiques. En parallèle, le système de crafting offre une progression plus dynamique. D’ailleurs, les plans de fabrication se découvrent désormais en explorant, en accomplissant des quêtes ou en interagissant avec les PNJ.
En outre, le jeu permet de domestiquer des compagnons extraterrestres. Vous pouvez récupérer ou fabriquer des œufs pour ensuite les couver. Chaque créature possède des capacités améliorables qui offrent des avantages en combat ou en exploration.
De nombreux défis et événements influencent également la progression du joueur. Ces éléments imprévus obligent les joueurs à s’adapter selon les circonstances, mais offrent aussi son lot de récompenses, à l’image des bonus sans dépôt des casinos en ligne qui gratifient la curiosité. En tout cas, Butterscotch Shenanigans a pu dépasser la répétition que les fans reprochaient au premier Crashlands.
Une direction artistique audacieuse et immersive
Chaque aspect du jeu, que ce soit sonore, visuel ou scénaristique, est pensé pour renforcer l’immersion du joueur dans l’univers de Woanope. Le jeu arbore une palette de couleurs vives, avec des designs originaux et souvent déjantés de personnages, de structures, de végétaux et de créatures. Chaque région est d’ailleurs conçue avec un vrai souci des détails et offre des ambiances distinctes.
Les animations fluides et dynamiques de Crashlands 2, notamment lors des affrontements et des récoltes, contribuent à une expérience addictive. De plus, la bande-son signée Fat Bard s’aligne naturellement avec l’ambiance du jeu. Chaque morceau est pensé pour accompagner les différentes phases de gameplay. Le jeu ne propose pas de doublage vocal, mais les effets et les bruitages renforcent le ton loufoque de la licence.
Crashlands 2 redéfinit les codes de la survie-crafting. Les nouveautés par rapport aux mécaniques de jeu combiné à l’humour et la narration produisent une expérience très riche en contenu. L’abandon de la génération procédurale confère d’ailleurs à chaque pixel carré une identité propre et renforce l’immersion dans l’univers de Woanope.
En somme, le jeu ne se contente pas de suivre les traces du premier opus, mais élargit les horizons de tout un genre.
