700 millions d’euros. C’est le montant de l’offre non engageante déposée par l’État pour racheter les activités dites « souveraines » du groupe informatique français Atos. Une proposition qui risque fort de décevoir la direction et d’ouvrir la voie à d’âpres négociations, d’autant que de grands industriels comme Thales lorgnent également sur ces actifs stratégiques. Un fleuron […]
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