Imaginez que vous passiez des semaines à transformer toutes vos pages en versions ultra-dépouces au format Markdown ou JSON, uniquement pour que les intelligences artificielles les « comprennent mieux ». Vous investissez du budget, du temps développeur, vous créez des routes spéciales user-agent… et puis un vendredi soir, John Mueller balance tranquillement sur LinkedIn : « On n’a jamais demandé ça ».
C’est exactement ce qui vient de se produire.
Depuis quelques mois, une nouvelle mode fait rage dans certains cercles SEO : les fameuses « pages dédiées aux LLM ». L’idée semble séduisante : proposer aux modèles de langage une version épurée de votre contenu pour qu’ils le citent plus souvent dans leurs réponses génératives. Certains prestataires vont jusqu’à vendre ce service plusieurs milliers d’euros. Pourtant, Google vient de couper court au débat de la manière la plus claire possible.
Pourquoi cette idée est-elle apparue si vite ?
Tout a commencé avec l’explosion des interfaces conversationnelles : ChatGPT, Perplexity, Gemini, Claude, et surtout la Search Generative Experience (SGE) de Google, devenue AI Overviews en 2025.
Beaucoup d’éditeurs ont remarqué que leurs contenus étaient parfois mal repris : phrases tronquées, informations mélangées, sources parfois ignorées au profit de sites plus « propres ». La conclusion hâtive ? « Les IA n’aiment pas notre HTML trop chargé, créons-leur une version allégée ! »
Ajoutez à cela quelques outils commerciaux qui promettent +30 % de visibilité dans les réponses IA grâce à ces formats alternatifs, et le buzz était lancé.
La réponse officielle de Google : non, merci
Lily Ray, célèbre consultante SEO américaine, a directement posé la question à John Mueller lors d’un échange public. La réponse ne laisse place à aucune ambiguïté :
« Les modèles de langage comprennent le HTML depuis le premier jour. Créer des versions spéciales pour les crawlers ou les LLM n’est ni nécessaire, ni recommandé. »
– John Mueller, Search Advocate chez Google
Il va même plus loin : si un format particulier était réellement avantageux, Google (ou OpenAI, ou Anthropic) le dirait clairement et publiquement. Le silence assourdissant des géants sur le sujet en dit long.
Pourquoi les LLM n’ont pas besoin de votre version « robot-friendly »
Les grands modèles de langage d’aujourd’hui sont entraînés sur des milliards de pages web brutes. Ils ont vu :
- des sites en table HTML des années 2000
- des single-page applications React ultra-complexes
- des pop-ups intrusives, des menus hamburger, carrousels infinis…
Ils savent extraire le contenu principal mieux que n’importe quel outil SEO du marché. Ce qui les gêne réellement ? Un HTML mal structuré, du texte caché dans du JavaScript non rendu côté serveur, ou des balises sémantiques absentes.
Les optimisations qui comptent vraiment en 2025
Voici ce que vous devriez faire à la place de créer des doublons inutiles :
- HTML sémantique impeccable : <header>, <main>, <article>, <section>, <h1> à <h6> bien hiérarchisés
- Contenu principal identifiable : utilisez l’attribut role= »main » ou placez votre contenu dans <main>
- Données structurées Schema.org : Article, FAQPage, Product, HowTo, Recipe… indispensables pour les rich results et les citations directes
- Réduction du JavaScript bloquant : préférez le server-side rendering ou l’hydratation progressive
- Textes lisibles pour l’humain : paragraphes courts, listes, tableaux clairs – les IA adorent reprendre ce format
- Core Web Vitals au vert : une page rapide = plus de chances d’être crawlée profondément
Le piège commercial à éviter absolument
Certains prestataires vous proposent aujourd’hui des « packs GEO » (Generative Engine Optimization) incluant la création de versions Markdown ou JSON de vos pages, parfois avec des routes cachées (/llm/, /ai.txt, etc.).
Le problème ? Aucun géant de l’IA n’a validé cette pratique. Vous risquez simplement :
- de dupliquer votre contenu (risque cloaking si mal géré)
- de dépenser du budget pour zéro gain mesurable
- d’alimenter une légende urbaine qui profite à quelques consultants
Et si demain une plateforme le demandait vraiment ?
John Mueller laisse une porte entrouverte : si un jour Google, Perplexity ou Anthropic publie des guidelines officielles demandant un format spécifique, alors oui, il faudra s’adapter. Exemple historique : les flux RSS, les sitemaps XML, ou les API IndexNow ont tous été adoptés parce que les plateformes les ont explicitement demandés.
Mais en novembre 2025, nous n’en sommes clairement pas là.
Tableau récapitulatif : à faire vs à éviter
Pour que tout soit clair, voici le verdict 2025 :
En résumé : continuez à créer pour les humains. Les IA suivront naturellement.
Conclusion : restez focus sur les fondamentaux
L’annonce de John Mueller est un rappel salutaire : en SEO comme ailleurs, il faut se méfier des modes passagères vendues comme la prochaine révolution. Créer des pages spéciales LLM en 2025, c’est comme optimiser pour le PageRank sculpting avec nofollow en 2010 : ça part d’une bonne intention, mais ça ne repose sur rien de concret.
Investissez plutôt dans un code propre, un contenu exceptionnel et une expérience utilisateur irréprochable. C’est la seule stratégie qui a toujours fonctionné… et qui continuera à fonctionner quand les LLM de 2028 auront remplacé ceux d’aujourd’hui.
Et vous, avez-vous déjà été tenté par ces versions « IA-friendly » ? Partagez votre expérience en commentaire, je suis curieux de savoir combien d’entre vous ont failli craquer !
En résumé : continuez à créer pour les humains. Les IA suivront naturellement.
Conclusion : restez focus sur les fondamentaux
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Investissez plutôt dans un code propre, un contenu exceptionnel et une expérience utilisateur irréprochable. C’est la seule stratégie qui a toujours fonctionné… et qui continuera à fonctionner quand les LLM de 2028 auront remplacé ceux d’aujourd’hui.
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Conclusion : restez focus sur les fondamentaux
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Investissez plutôt dans un code propre, un contenu exceptionnel et une expérience utilisateur irréprochable. C’est la seule stratégie qui a toujours fonctionné… et qui continuera à fonctionner quand les LLM de 2028 auront remplacé ceux d’aujourd’hui.
Et vous, avez-vous déjà été tenté par ces versions « IA-friendly » ? Partagez votre expérience en commentaire, je suis curieux de savoir combien d’entre vous ont failli craquer !
- répondent précisément à une intention de recherche
- proposent des contenus ultra-complets mais parfaitement structurés
- utilisent les bonnes données structurées
- chargent rapidement et offrent une expérience fluide
En résumé : continuez à créer pour les humains. Les IA suivront naturellement.
Conclusion : restez focus sur les fondamentaux
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Investissez plutôt dans un code propre, un contenu exceptionnel et une expérience utilisateur irréprochable. C’est la seule stratégie qui a toujours fonctionné… et qui continuera à fonctionner quand les LLM de 2028 auront remplacé ceux d’aujourd’hui.
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Ce que cela signifie pour votre stratégie 2026
La vraie révolution n’est pas technique, elle est éditoriale et structurelle. Les sites qui dominent les réponses IA aujourd’hui sont ceux qui :
- répondent précisément à une intention de recherche
- proposent des contenus ultra-complets mais parfaitement structurés
- utilisent les bonnes données structurées
- chargent rapidement et offrent une expérience fluide
En résumé : continuez à créer pour les humains. Les IA suivront naturellement.
Conclusion : restez focus sur les fondamentaux
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Investissez plutôt dans un code propre, un contenu exceptionnel et une expérience utilisateur irréprochable. C’est la seule stratégie qui a toujours fonctionné… et qui continuera à fonctionner quand les LLM de 2028 auront remplacé ceux d’aujourd’hui.
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Ce que cela signifie pour votre stratégie 2026
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En résumé : continuez à créer pour les humains. Les IA suivront naturellement.
Conclusion : restez focus sur les fondamentaux
L’annonce de John Mueller est un rappel salutaire : en SEO comme ailleurs, il faut se méfier des modes passagères vendues comme la prochaine révolution. Créer des pages spéciales LLM en 2025, c’est comme optimiser pour le PageRank sculpting avec nofollow en 2010 : ça part d’une bonne intention, mais ça ne repose sur rien de concret.
Investissez plutôt dans un code propre, un contenu exceptionnel et une expérience utilisateur irréprochable. C’est la seule stratégie qui a toujours fonctionné… et qui continuera à fonctionner quand les LLM de 2028 auront remplacé ceux d’aujourd’hui.
Et vous, avez-vous déjà été tenté par ces versions « IA-friendly » ? Partagez votre expérience en commentaire, je suis curieux de savoir combien d’entre vous ont failli craquer !
Ce que cela signifie pour votre stratégie 2026
La vraie révolution n’est pas technique, elle est éditoriale et structurelle. Les sites qui dominent les réponses IA aujourd’hui sont ceux qui :
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Conclusion : restez focus sur les fondamentaux
L’annonce de John Mueller est un rappel salutaire : en SEO comme ailleurs, il faut se méfier des modes passagères vendues comme la prochaine révolution. Créer des pages spéciales LLM en 2025, c’est comme optimiser pour le PageRank sculpting avec nofollow en 2010 : ça part d’une bonne intention, mais ça ne repose sur rien de concret.
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Ce que cela signifie pour votre stratégie 2026
La vraie révolution n’est pas technique, elle est éditoriale et structurelle. Les sites qui dominent les réponses IA aujourd’hui sont ceux qui :
- répondent précisément à une intention de recherche
- proposent des contenus ultra-complets mais parfaitement structurés
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En résumé : continuez à créer pour les humains. Les IA suivront naturellement.
Conclusion : restez focus sur les fondamentaux
L’annonce de John Mueller est un rappel salutaire : en SEO comme ailleurs, il faut se méfier des modes passagères vendues comme la prochaine révolution. Créer des pages spéciales LLM en 2025, c’est comme optimiser pour le PageRank sculpting avec nofollow en 2010 : ça part d’une bonne intention, mais ça ne repose sur rien de concret.
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Et vous, avez-vous déjà été tenté par ces versions « IA-friendly » ? Partagez votre expérience en commentaire, je suis curieux de savoir combien d’entre vous ont failli craquer !
- Créer des pages Markdown/JSON spéciales LLM → Non (aucune preuve d’efficacité)
- Publier un flux JSON officiel demandé (ex Google Merchant Center) → Oui
- Optimiser la structure HTML et la sémantique → Oui, indispensable
- Ajouter Schema.org riche → Oui, impact direct sur les citations
- Rendre le contenu clair et lisible humain → Oui, profite à tous les systèmes
- Cloaking ou versions cachées selon user-agent → Risque de pénalité
Ce que cela signifie pour votre stratégie 2026
La vraie révolution n’est pas technique, elle est éditoriale et structurelle. Les sites qui dominent les réponses IA aujourd’hui sont ceux qui :
- répondent précisément à une intention de recherche
- proposent des contenus ultra-complets mais parfaitement structurés
- utilisent les bonnes données structurées
- chargent rapidement et offrent une expérience fluide
En résumé : continuez à créer pour les humains. Les IA suivront naturellement.
Conclusion : restez focus sur les fondamentaux
L’annonce de John Mueller est un rappel salutaire : en SEO comme ailleurs, il faut se méfier des modes passagères vendues comme la prochaine révolution. Créer des pages spéciales LLM en 2025, c’est comme optimiser pour le PageRank sculpting avec nofollow en 2010 : ça part d’une bonne intention, mais ça ne repose sur rien de concret.
Investissez plutôt dans un code propre, un contenu exceptionnel et une expérience utilisateur irréprochable. C’est la seule stratégie qui a toujours fonctionné… et qui continuera à fonctionner quand les LLM de 2028 auront remplacé ceux d’aujourd’hui.
Et vous, avez-vous déjà été tenté par ces versions « IA-friendly » ? Partagez votre expérience en commentaire, je suis curieux de savoir combien d’entre vous ont failli craquer !
