Imaginez : vous avez misé plus de 50 milliards de dollars sur un rêve, rebaptisé votre entreprise entière pour lui, et quatre ans plus tard… vous envisagez de couper le robinet de 30 %. C’est exactement ce qui se passe chez Meta en ce début décembre 2025. Selon Bloomberg, la direction réfléchirait sérieusement à réduire massivement le budget de Reality Labs, la division qui porte le fameux « métaverse ». Et, cerise sur le gâteau, l’action Meta a… grimpé à l’annonce. Drôle de monde.
Pour les entrepreneurs, les marketeurs et tous ceux qui naviguent dans l’écosystème tech, cette nouvelle est bien plus qu’un simple fait divers. C’est un cas d’école monumental sur la gestion des paris risqués, le timing produit et surtout le courage (ou l’obligation) de pivoter quand le marché vous dit « non ».
Reality Labs : des pertes qui donnent le vertige
Petit rappel des chiffres qui font mal. Depuis 2020, Reality Labs a accumulé plus de 55 milliards de dollars de pertes opérationnelles. Rien que sur les neuf premiers mois de 2025, la division a brûlé environ 12 milliards supplémentaires. Pendant ce temps, les ventes de casques Quest restent confidentielles (estimées à moins de 300 000 unités pour le Quest 3S sur le dernier trimestre) et Horizon Worlds peine à dépasser le million d’utilisateurs mensuels actifs.
Le contraste est violent avec le reste du groupe : la publicité Facebook/Instagram continue de générer des dizaines de milliards de cash chaque trimestre, et les Ray-Ban Meta (les lunettes connectées avec IA) se vendent comme des petits pains – plusieurs millions d’unités écoulées en 2025.
« Le métaverse reste une vision à long terme, mais nous devons nous assurer que nos investissements sont alignent valeur immédiate et potentiel futur. »
– Un cadre de Meta ayant requis l’anonymat, cité par Bloomberg
Pourquoi ce brutal changement de cap ?
Plusieurs facteurs convergent :
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
- Réduction de 20 à 30 % du budget global (soit 3 à 4,5 milliards en moins par an).
- Gel ou annulation de certains projets VR haut de gamme (Quest Pro 2 en danger).
- Acceleration massive sur les lunettes AR (projet « Orion » prévu pour 2027, mais des versions intermédiaires pourraient arriver plus tôt).
- Licenciements ciblés dans les équipes Horizon Worlds et certains labs de recherche fondamentale.
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
2026 : l’année du recentrage total sur l’IA et l’AR légère ?
Les rumeurs internes évoquent plusieurs scénarios pour Reality Labs en 2026 :
- Réduction de 20 à 30 % du budget global (soit 3 à 4,5 milliards en moins par an).
- Gel ou annulation de certains projets VR haut de gamme (Quest Pro 2 en danger).
- Acceleration massive sur les lunettes AR (projet « Orion » prévu pour 2027, mais des versions intermédiaires pourraient arriver plus tôt).
- Licenciements ciblés dans les équipes Horizon Worlds et certains labs de recherche fondamentale.
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
2026 : l’année du recentrage total sur l’IA et l’AR légère ?
Les rumeurs internes évoquent plusieurs scénarios pour Reality Labs en 2026 :
- Réduction de 20 à 30 % du budget global (soit 3 à 4,5 milliards en moins par an).
- Gel ou annulation de certains projets VR haut de gamme (Quest Pro 2 en danger).
- Acceleration massive sur les lunettes AR (projet « Orion » prévu pour 2027, mais des versions intermédiaires pourraient arriver plus tôt).
- Licenciements ciblés dans les équipes Horizon Worlds et certains labs de recherche fondamentale.
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
2026 : l’année du recentrage total sur l’IA et l’AR légère ?
Les rumeurs internes évoquent plusieurs scénarios pour Reality Labs en 2026 :
- Réduction de 20 à 30 % du budget global (soit 3 à 4,5 milliards en moins par an).
- Gel ou annulation de certains projets VR haut de gamme (Quest Pro 2 en danger).
- Acceleration massive sur les lunettes AR (projet « Orion » prévu pour 2027, mais des versions intermédiaires pourraient arriver plus tôt).
- Licenciements ciblés dans les équipes Horizon Worlds et certains labs de recherche fondamentale.
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
2026 : l’année du recentrage total sur l’IA et l’AR légère ?
Les rumeurs internes évoquent plusieurs scénarios pour Reality Labs en 2026 :
- Réduction de 20 à 30 % du budget global (soit 3 à 4,5 milliards en moins par an).
- Gel ou annulation de certains projets VR haut de gamme (Quest Pro 2 en danger).
- Acceleration massive sur les lunettes AR (projet « Orion » prévu pour 2027, mais des versions intermédiaires pourraient arriver plus tôt).
- Licenciements ciblés dans les équipes Horizon Worlds et certains labs de recherche fondamentale.
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
- Le time-to-market compte énormément – 10 ans d’avance, c’est souvent 10 ans trop tôt.
- Les investisseurs pardonnent les pertes… jusqu’à un certain point – quand la trésorerie publicitaire est là, on a de la marge, mais elle n’est pas infinie.
- Un produit « good enough » qui sort aujourd’hui bat un produit parfait qui sort dans 5 ans – voir Ray-Ban Meta vs Quest Pro.
- L’IA est devenue le nouveau « mobile » – celui qui ne l’intègre pas partout risque de se faire distancer très vite.
- Le storytelling ne remplace pas l’adoption – on peut rebaptiser sa boîte « Meta » et parler de métaverse tous les jours, si personne n’utilise le produit, ça ne sert à rien.
2026 : l’année du recentrage total sur l’IA et l’AR légère ?
Les rumeurs internes évoquent plusieurs scénarios pour Reality Labs en 2026 :
- Réduction de 20 à 30 % du budget global (soit 3 à 4,5 milliards en moins par an).
- Gel ou annulation de certains projets VR haut de gamme (Quest Pro 2 en danger).
- Acceleration massive sur les lunettes AR (projet « Orion » prévu pour 2027, mais des versions intermédiaires pourraient arriver plus tôt).
- Licenciements ciblés dans les équipes Horizon Worlds et certains labs de recherche fondamentale.
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
Les lunettes Ray-Ban Meta : le vrai succès qu’on n’attendait pas
Pendant que le métaverse faisait pschitt, un produit discret est devenu le best-seller surprise de Meta : les Ray-Ban Meta. Légères, stylées, avec une IA capable de répondre en temps réel à « Hé Meta, qu’est-ce que je regarde ? », elles ont tapé dans l’œil (c’est le cas de le dire) du grand public.
Résultat ? Des millions d’attente de plusieurs mois chez certains revendeurs et un bouche-à-oreille phénoménal sur TikTok et Instagram. Coût de développement ridicule comparé aux milliards engloutis dans les casques VR. Leçon n°1 : parfois le produit le plus simple est le plus disruptif.
Ce que cela nous apprend sur la gestion des paris technologiques
Pour tout fondateur ou directeur produit qui nous lit, voici les grandes leçons à retenir de l’aventure métaverse de Meta :
- Le time-to-market compte énormément – 10 ans d’avance, c’est souvent 10 ans trop tôt.
- Les investisseurs pardonnent les pertes… jusqu’à un certain point – quand la trésorerie publicitaire est là, on a de la marge, mais elle n’est pas infinie.
- Un produit « good enough » qui sort aujourd’hui bat un produit parfait qui sort dans 5 ans – voir Ray-Ban Meta vs Quest Pro.
- L’IA est devenue le nouveau « mobile » – celui qui ne l’intègre pas partout risque de se faire distancer très vite.
- Le storytelling ne remplace pas l’adoption – on peut rebaptiser sa boîte « Meta » et parler de métaverse tous les jours, si personne n’utilise le produit, ça ne sert à rien.
2026 : l’année du recentrage total sur l’IA et l’AR légère ?
Les rumeurs internes évoquent plusieurs scénarios pour Reality Labs en 2026 :
- Réduction de 20 à 30 % du budget global (soit 3 à 4,5 milliards en moins par an).
- Gel ou annulation de certains projets VR haut de gamme (Quest Pro 2 en danger).
- Acceleration massive sur les lunettes AR (projet « Orion » prévu pour 2027, mais des versions intermédiaires pourraient arriver plus tôt).
- Licenciements ciblés dans les équipes Horizon Worlds et certains labs de recherche fondamentale.
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
Les lunettes Ray-Ban Meta : le vrai succès qu’on n’attendait pas
Pendant que le métaverse faisait pschitt, un produit discret est devenu le best-seller surprise de Meta : les Ray-Ban Meta. Légères, stylées, avec une IA capable de répondre en temps réel à « Hé Meta, qu’est-ce que je regarde ? », elles ont tapé dans l’œil (c’est le cas de le dire) du grand public.
Résultat ? Des millions d’attente de plusieurs mois chez certains revendeurs et un bouche-à-oreille phénoménal sur TikTok et Instagram. Coût de développement ridicule comparé aux milliards engloutis dans les casques VR. Leçon n°1 : parfois le produit le plus simple est le plus disruptif.
Ce que cela nous apprend sur la gestion des paris technologiques
Pour tout fondateur ou directeur produit qui nous lit, voici les grandes leçons à retenir de l’aventure métaverse de Meta :
- Le time-to-market compte énormément – 10 ans d’avance, c’est souvent 10 ans trop tôt.
- Les investisseurs pardonnent les pertes… jusqu’à un certain point – quand la trésorerie publicitaire est là, on a de la marge, mais elle n’est pas infinie.
- Un produit « good enough » qui sort aujourd’hui bat un produit parfait qui sort dans 5 ans – voir Ray-Ban Meta vs Quest Pro.
- L’IA est devenue le nouveau « mobile » – celui qui ne l’intègre pas partout risque de se faire distancer très vite.
- Le storytelling ne remplace pas l’adoption – on peut rebaptiser sa boîte « Meta » et parler de métaverse tous les jours, si personne n’utilise le produit, ça ne sert à rien.
2026 : l’année du recentrage total sur l’IA et l’AR légère ?
Les rumeurs internes évoquent plusieurs scénarios pour Reality Labs en 2026 :
- Réduction de 20 à 30 % du budget global (soit 3 à 4,5 milliards en moins par an).
- Gel ou annulation de certains projets VR haut de gamme (Quest Pro 2 en danger).
- Acceleration massive sur les lunettes AR (projet « Orion » prévu pour 2027, mais des versions intermédiaires pourraient arriver plus tôt).
- Licenciements ciblés dans les équipes Horizon Worlds et certains labs de recherche fondamentale.
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
Les lunettes Ray-Ban Meta : le vrai succès qu’on n’attendait pas
Pendant que le métaverse faisait pschitt, un produit discret est devenu le best-seller surprise de Meta : les Ray-Ban Meta. Légères, stylées, avec une IA capable de répondre en temps réel à « Hé Meta, qu’est-ce que je regarde ? », elles ont tapé dans l’œil (c’est le cas de le dire) du grand public.
Résultat ? Des millions d’attente de plusieurs mois chez certains revendeurs et un bouche-à-oreille phénoménal sur TikTok et Instagram. Coût de développement ridicule comparé aux milliards engloutis dans les casques VR. Leçon n°1 : parfois le produit le plus simple est le plus disruptif.
Ce que cela nous apprend sur la gestion des paris technologiques
Pour tout fondateur ou directeur produit qui nous lit, voici les grandes leçons à retenir de l’aventure métaverse de Meta :
- Le time-to-market compte énormément – 10 ans d’avance, c’est souvent 10 ans trop tôt.
- Les investisseurs pardonnent les pertes… jusqu’à un certain point – quand la trésorerie publicitaire est là, on a de la marge, mais elle n’est pas infinie.
- Un produit « good enough » qui sort aujourd’hui bat un produit parfait qui sort dans 5 ans – voir Ray-Ban Meta vs Quest Pro.
- L’IA est devenue le nouveau « mobile » – celui qui ne l’intègre pas partout risque de se faire distancer très vite.
- Le storytelling ne remplace pas l’adoption – on peut rebaptiser sa boîte « Meta » et parler de métaverse tous les jours, si personne n’utilise le produit, ça ne sert à rien.
2026 : l’année du recentrage total sur l’IA et l’AR légère ?
Les rumeurs internes évoquent plusieurs scénarios pour Reality Labs en 2026 :
- Réduction de 20 à 30 % du budget global (soit 3 à 4,5 milliards en moins par an).
- Gel ou annulation de certains projets VR haut de gamme (Quest Pro 2 en danger).
- Acceleration massive sur les lunettes AR (projet « Orion » prévu pour 2027, mais des versions intermédiaires pourraient arriver plus tôt).
- Licenciements ciblés dans les équipes Horizon Worlds et certains labs de recherche fondamentale.
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !
- La pression des investisseurs : depuis le « MetaMate » de 2022 et les 21 000 licenciements en cascade, Wall Street n’a cessé de demander des comptes sur Reality Labs.
- L’explosion de l’IA générative : Llama 3.1, Meta AI dans WhatsApp/Instagram et les lunettes Ray-Ban ont montré qu’on pouvait créer des produits désirables très vite et à moindre coût.
- La concurrence AR/VR qui patine aussi : Apple Vision Pro n’a pas non plus révolutionné le marché (moins de 500 000 unités vendues en un an et demi).
- Le grand public reste frileux : porter un casque plusieurs heures par jour ? Très peu pour lui. En revanche, des lunettes légères avec IA intégrée, oui.
Les lunettes Ray-Ban Meta : le vrai succès qu’on n’attendait pas
Pendant que le métaverse faisait pschitt, un produit discret est devenu le best-seller surprise de Meta : les Ray-Ban Meta. Légères, stylées, avec une IA capable de répondre en temps réel à « Hé Meta, qu’est-ce que je regarde ? », elles ont tapé dans l’œil (c’est le cas de le dire) du grand public.
Résultat ? Des millions d’attente de plusieurs mois chez certains revendeurs et un bouche-à-oreille phénoménal sur TikTok et Instagram. Coût de développement ridicule comparé aux milliards engloutis dans les casques VR. Leçon n°1 : parfois le produit le plus simple est le plus disruptif.
Ce que cela nous apprend sur la gestion des paris technologiques
Pour tout fondateur ou directeur produit qui nous lit, voici les grandes leçons à retenir de l’aventure métaverse de Meta :
- Le time-to-market compte énormément – 10 ans d’avance, c’est souvent 10 ans trop tôt.
- Les investisseurs pardonnent les pertes… jusqu’à un certain point – quand la trésorerie publicitaire est là, on a de la marge, mais elle n’est pas infinie.
- Un produit « good enough » qui sort aujourd’hui bat un produit parfait qui sort dans 5 ans – voir Ray-Ban Meta vs Quest Pro.
- L’IA est devenue le nouveau « mobile » – celui qui ne l’intègre pas partout risque de se faire distancer très vite.
- Le storytelling ne remplace pas l’adoption – on peut rebaptiser sa boîte « Meta » et parler de métaverse tous les jours, si personne n’utilise le produit, ça ne sert à rien.
2026 : l’année du recentrage total sur l’IA et l’AR légère ?
Les rumeurs internes évoquent plusieurs scénarios pour Reality Labs en 2026 :
- Réduction de 20 à 30 % du budget global (soit 3 à 4,5 milliards en moins par an).
- Gel ou annulation de certains projets VR haut de gamme (Quest Pro 2 en danger).
- Acceleration massive sur les lunettes AR (projet « Orion » prévu pour 2027, mais des versions intermédiaires pourraient arriver plus tôt).
- Licenciements ciblés dans les équipes Horizon Worlds et certains labs de recherche fondamentale.
En parallèle, Meta continuerait d’investir massivement dans Llama 4, les agents IA dans WhatsApp et l’intégration de Meta AI partout. Le message est clair : l’intelligence artificielle est le cheval gagnant immédiat, l’AR légère le prochain relais de croissance, et la VR pure… peut attendre.
Et pour les startups du métaverse, c’est la douche froide ?
Pas forcément. Le retrait partiel de Meta laisse un vide que d’autres peuvent combler :
- Apple continue (doucement) avec Vision Pro et visionOS.
- ByteDance (Pico), HTC et même Samsung/Google préparent des casques Android XR.
- Des niches explosent : formation professionnelle en VR, collaboration entreprise (Spatial, Immersed), jeux AAA (le prochain GTA San Andreas VR pourrait changer la donne).
Le métaverse ne meurt pas. Il se réinvente, plus lentement, plus pragmatiquement, et probablement sans un seul géant qui impose sa vision totale.
Conclusion : le pragmatisme gagne toujours
Mark Zuckerberg a eu raison trop tôt. Le métaverse arrivera, c’est certain – mais sous une forme bien plus intégrée à notre quotidien (lunettes AR, avatars photoréalistes dans les appels vidéo, espaces de travail hybrides). En attendant, Meta fait ce que toute entreprise mature doit faire : couper les branches mortes pour laisser pousser les nouvelles pousses.
Pour nous entrepreneurs, le message est limpide : ayez une vision, mais gardez toujours un plan B rentable. L’histoire du métaverse selon Meta n’est pas terminée, elle entre simplement dans sa phase adulte : moins de rêves, plus de résultats.
Et vous, pensez-vous que Meta abandonne trop vite ou qu’il fait le bon choix stratégique ? Dites-le-moi en commentaire, je suis curieux de connaître votre avis !






