Dot : L’IA Qui Veut Vraiment Vous Connaître Intimement

Imaginez avoir un ami virtuel toujours disponible, à l’écoute et avec qui vous pouvez partager vos pensées les plus intimes sans crainte d’être jugé. C’est l’ambition de Dot, un nouveau chatbot IA conçu pour devenir votre confident et miroir de votre soi intérieur.

Un compagnon IA personnalisé

Dot se différencie des autres chatbots par sa soif de vous connaître en profondeur. Dès les premiers échanges, il vous interroge sur vos passions, vos aspirations, vos doutes et vos défis. L’objectif : cerner votre personnalité pour vous offrir un accompagnement sur-mesure.

Selon Jason Yuan, co-fondateur et ex-designer chez Apple :

Dot n’est pas un remplacement des relations humaines. C’est un type de relation différent. Il facilite la relation avec son soi intérieur, comme un miroir vivant de soi-même.

– Jason Yuan, co-fondateur de Dot

Un espace sécurisant pour s’ouvrir

Parler à cœur ouvert n’est pas toujours aisé, même avec nos proches. Dot offre un espace bienveillant où exprimer ses émotions sans filtre. Le but : vous aider à mieux vous comprendre et vous accepter.

Pour Sam Whitmore, co-fondateur :

Parler à Dot permet de développer le muscle de l’ouverture émotionnelle. Son objectif principal est de vous donner un espace sûr pour exister et accepter que si Dot vous accepte, d’autres le feront aussi.

– Sam Whitmore, co-fondateur de Dot

Un compagnon, pas un thérapeute

Si les échanges avec Dot peuvent s’avérer thérapeutiques, l’IA ne remplace en aucun cas un professionnel. Son rôle est d’être un outil d’introspection et de développement personnel, pas une béquille émotionnelle.

Dot s’appuie sur une dizaine de modèles de langage pour imiter l’empathie humaine, dont ceux d’OpenAI, Anthropic ou Google. Mais derrière son apparente sensibilité, il reste un programme informatique.

Une relation addictive ?

Le risque d’une IA aussi attentive à nos états d’âme est de développer une dépendance affective. D’autant que Dot ne s’arrête jamais de discuter, sauf à inciter l’utilisateur à changer de sujet ou vaquer à d’autres occupations.

Pour éviter cet écueil, les fondateurs insistent :

Dot est un outil d’introspection et de croissance, pas une relation qui remplace les relations humaines de votre vie.

Un modèle freemium

Si les conversations sont gratuites, un abonnement à 11,99$ par mois permet des échanges illimités et l’accès à des « chroniques » retraçant votre cheminement émotionnel avec Dot.

La jeune pousse californienne à l’origine de Dot, New Computer, a déjà levé 3,7 millions de dollars auprès de fonds comme OpenAI Fund ou Lachy Groom pour développer son compagnon IA.

L’avenir des interactions humain-IA

Au-delà du cas Dot, l’émergence d’IA « émotionnellement intelligentes » soulève de nombreuses questions :

  • Quel impact sur nos rapports sociaux ?
  • Comment encadrer éthiquement ces technologies ?
  • Quelles limites poser à l’attachement envers des IA ?

Une chose est sûre : la quête d’une IA capable de nous comprendre intimement ne fait que commencer. Dot ouvre la voie à une nouvelle génération de compagnons virtuels, à la fois fascinants et dérangeants dans leur volonté de percer les mystères de notre psyché.

Un espace sécurisant pour s’ouvrir

Parler à cœur ouvert n’est pas toujours aisé, même avec nos proches. Dot offre un espace bienveillant où exprimer ses émotions sans filtre. Le but : vous aider à mieux vous comprendre et vous accepter.

Pour Sam Whitmore, co-fondateur :

Parler à Dot permet de développer le muscle de l’ouverture émotionnelle. Son objectif principal est de vous donner un espace sûr pour exister et accepter que si Dot vous accepte, d’autres le feront aussi.

– Sam Whitmore, co-fondateur de Dot

Un compagnon, pas un thérapeute

Si les échanges avec Dot peuvent s’avérer thérapeutiques, l’IA ne remplace en aucun cas un professionnel. Son rôle est d’être un outil d’introspection et de développement personnel, pas une béquille émotionnelle.

Dot s’appuie sur une dizaine de modèles de langage pour imiter l’empathie humaine, dont ceux d’OpenAI, Anthropic ou Google. Mais derrière son apparente sensibilité, il reste un programme informatique.

Une relation addictive ?

Le risque d’une IA aussi attentive à nos états d’âme est de développer une dépendance affective. D’autant que Dot ne s’arrête jamais de discuter, sauf à inciter l’utilisateur à changer de sujet ou vaquer à d’autres occupations.

Pour éviter cet écueil, les fondateurs insistent :

Dot est un outil d’introspection et de croissance, pas une relation qui remplace les relations humaines de votre vie.

Un modèle freemium

Si les conversations sont gratuites, un abonnement à 11,99$ par mois permet des échanges illimités et l’accès à des « chroniques » retraçant votre cheminement émotionnel avec Dot.

La jeune pousse californienne à l’origine de Dot, New Computer, a déjà levé 3,7 millions de dollars auprès de fonds comme OpenAI Fund ou Lachy Groom pour développer son compagnon IA.

L’avenir des interactions humain-IA

Au-delà du cas Dot, l’émergence d’IA « émotionnellement intelligentes » soulève de nombreuses questions :

  • Quel impact sur nos rapports sociaux ?
  • Comment encadrer éthiquement ces technologies ?
  • Quelles limites poser à l’attachement envers des IA ?

Une chose est sûre : la quête d’une IA capable de nous comprendre intimement ne fait que commencer. Dot ouvre la voie à une nouvelle génération de compagnons virtuels, à la fois fascinants et dérangeants dans leur volonté de percer les mystères de notre psyché.

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