Kalshi Lève 1 Milliard à 11 Milliards de Valorisation

Imaginez une startup qui multiplie sa valorisation par plus de deux en moins de deux mois. Ce n’est pas une licorne des années 2010, ni une IA générative dopée à l’engouement ChatGPT. Non, nous sommes en décembre 2025 et c’est Kalshi, une plateforme de marchés de prédiction, qui vient de boucler une levée de fonds d’un milliard de dollars à une valorisation stratosphérique de 11 milliards. Oui, vous avez bien lu : 11 milliards.

Dans un monde où les valorisations retombent souvent plus vite qu’elles ne montent, cette performance laisse pantois même les investisseurs les plus aguerris de Sand Hill Road. Alors comment une entreprise qui permet tout simplement de « parier » sur l’avenir a-t-elle réussi ce tour de force ? C’est ce que nous allons décortiquer ensemble.

Les chiffres qui font tourner la tête

Remettons les choses en perspective :

  • Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
  • La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
  • La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.
  • Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

  • Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
  • Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
  • La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
  • La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.
  • Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

  • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
  • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
  • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%
  • Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

  • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
  • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
  • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
  • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%
  • Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

  • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
  • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
  • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z
  • Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

  • Un partenariat majeur avec CNN (probablement pour des marchés en direct pendant les émissions)
  • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
  • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
  • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z
  • Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

    • Un partenariat majeur avec CNN (probablement pour des marchés en direct pendant les émissions)
    • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
    • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
    • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z

    Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

  • Andreessen Horowitz (a16z)
  • CapitalG (le growth fund de Google)
  • Henry Kravis (oui, le K de KKR en personne)
  • Autant dire que tout le gotha de la Silicon Valley a misé sur le même cheval. Quand ces quatre-là s’alignent sur une valorisation aussi élevée, c’est que quelque chose de profond est en train de se passer.

    Polymarket dans le rétroviseur… ou pas

    Impossible de parler de Kalshi sans évoquer son grand rival Polymarket, la plateforme décentralisée basée sur blockchain (Polygon) qui a elle aussi explosé pendant l’élection 2024.

    Polymarket était même en discussions pour lever à 12-15 milliards de valorisation en octobre (selon Bloomberg). Sauf que… la levée n’a jamais été annoncée. Pendant ce temps, Kalshi, version centralisée et régulée, a bouclé la sienne en un temps record.

    La morale ? Dans la fintech, la conformité réglementaire reste un moat énorme. Polymarket reste cantonné aux utilisateurs crypto et hors États-Unis pour les événements sensibles, alors que Kalshi peut attaquer le marché américain de plein fouet.

    Les prochains coups de Kalshi

    Parmi les annonces qui fuitent :

    • Un partenariat majeur avec CNN (probablement pour des marchés en direct pendant les émissions)
    • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
    • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
    • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z

    Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

  • Sequoia Capital
  • Andreessen Horowitz (a16z)
  • CapitalG (le growth fund de Google)
  • Henry Kravis (oui, le K de KKR en personne)
  • Autant dire que tout le gotha de la Silicon Valley a misé sur le même cheval. Quand ces quatre-là s’alignent sur une valorisation aussi élevée, c’est que quelque chose de profond est en train de se passer.

    Polymarket dans le rétroviseur… ou pas

    Impossible de parler de Kalshi sans évoquer son grand rival Polymarket, la plateforme décentralisée basée sur blockchain (Polygon) qui a elle aussi explosé pendant l’élection 2024.

    Polymarket était même en discussions pour lever à 12-15 milliards de valorisation en octobre (selon Bloomberg). Sauf que… la levée n’a jamais été annoncée. Pendant ce temps, Kalshi, version centralisée et régulée, a bouclé la sienne en un temps record.

    La morale ? Dans la fintech, la conformité réglementaire reste un moat énorme. Polymarket reste cantonné aux utilisateurs crypto et hors États-Unis pour les événements sensibles, alors que Kalshi peut attaquer le marché américain de plein fouet.

    Les prochains coups de Kalshi

    Parmi les annonces qui fuitent :

    • Un partenariat majeur avec CNN (probablement pour des marchés en direct pendant les émissions)
    • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
    • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
    • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z

    Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

    • Sequoia Capital
    • Andreessen Horowitz (a16z)
    • CapitalG (le growth fund de Google)
    • Henry Kravis (oui, le K de KKR en personne)

    Autant dire que tout le gotha de la Silicon Valley a misé sur le même cheval. Quand ces quatre-là s’alignent sur une valorisation aussi élevée, c’est que quelque chose de profond est en train de se passer.

    Polymarket dans le rétroviseur… ou pas

    Impossible de parler de Kalshi sans évoquer son grand rival Polymarket, la plateforme décentralisée basée sur blockchain (Polygon) qui a elle aussi explosé pendant l’élection 2024.

    Polymarket était même en discussions pour lever à 12-15 milliards de valorisation en octobre (selon Bloomberg). Sauf que… la levée n’a jamais été annoncée. Pendant ce temps, Kalshi, version centralisée et régulée, a bouclé la sienne en un temps record.

    La morale ? Dans la fintech, la conformité réglementaire reste un moat énorme. Polymarket reste cantonné aux utilisateurs crypto et hors États-Unis pour les événements sensibles, alors que Kalshi peut attaquer le marché américain de plein fouet.

    Les prochains coups de Kalshi

    Parmi les annonces qui fuitent :

    • Un partenariat majeur avec CNN (probablement pour des marchés en direct pendant les émissions)
    • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
    • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
    • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z

    Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

  • Un transporteur aérien qui se protège contre une explosion du prix du kérosène
  • Une entreprise tech de la côte Ouest qui couvre le risque de séisme ou incendie
  • Un média qui hedge contre un shutdown du gouvernement américain
  • Kalshi devient ainsi un outil de gestion de risque ultra-précis, bien plus flexible que les produits dérivés traditionnels.

    Les investisseurs qui ont dit « oui » à 11 milliards

    Le tour de table a été mené par Paradigm (retour en force après le tour précédent), accompagné de :

    • Sequoia Capital
    • Andreessen Horowitz (a16z)
    • CapitalG (le growth fund de Google)
    • Henry Kravis (oui, le K de KKR en personne)

    Autant dire que tout le gotha de la Silicon Valley a misé sur le même cheval. Quand ces quatre-là s’alignent sur une valorisation aussi élevée, c’est que quelque chose de profond est en train de se passer.

    Polymarket dans le rétroviseur… ou pas

    Impossible de parler de Kalshi sans évoquer son grand rival Polymarket, la plateforme décentralisée basée sur blockchain (Polygon) qui a elle aussi explosé pendant l’élection 2024.

    Polymarket était même en discussions pour lever à 12-15 milliards de valorisation en octobre (selon Bloomberg). Sauf que… la levée n’a jamais été annoncée. Pendant ce temps, Kalshi, version centralisée et régulée, a bouclé la sienne en un temps record.

    La morale ? Dans la fintech, la conformité réglementaire reste un moat énorme. Polymarket reste cantonné aux utilisateurs crypto et hors États-Unis pour les événements sensibles, alors que Kalshi peut attaquer le marché américain de plein fouet.

    Les prochains coups de Kalshi

    Parmi les annonces qui fuitent :

    • Un partenariat majeur avec CNN (probablement pour des marchés en direct pendant les émissions)
    • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
    • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
    • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z

    Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

  • Une chaîne de cafés qui hedge contre une hausse du prix du café arabica
  • Un transporteur aérien qui se protège contre une explosion du prix du kérosène
  • Une entreprise tech de la côte Ouest qui couvre le risque de séisme ou incendie
  • Un média qui hedge contre un shutdown du gouvernement américain
  • Kalshi devient ainsi un outil de gestion de risque ultra-précis, bien plus flexible que les produits dérivés traditionnels.

    Les investisseurs qui ont dit « oui » à 11 milliards

    Le tour de table a été mené par Paradigm (retour en force après le tour précédent), accompagné de :

    • Sequoia Capital
    • Andreessen Horowitz (a16z)
    • CapitalG (le growth fund de Google)
    • Henry Kravis (oui, le K de KKR en personne)

    Autant dire que tout le gotha de la Silicon Valley a misé sur le même cheval. Quand ces quatre-là s’alignent sur une valorisation aussi élevée, c’est que quelque chose de profond est en train de se passer.

    Polymarket dans le rétroviseur… ou pas

    Impossible de parler de Kalshi sans évoquer son grand rival Polymarket, la plateforme décentralisée basée sur blockchain (Polygon) qui a elle aussi explosé pendant l’élection 2024.

    Polymarket était même en discussions pour lever à 12-15 milliards de valorisation en octobre (selon Bloomberg). Sauf que… la levée n’a jamais été annoncée. Pendant ce temps, Kalshi, version centralisée et régulée, a bouclé la sienne en un temps record.

    La morale ? Dans la fintech, la conformité réglementaire reste un moat énorme. Polymarket reste cantonné aux utilisateurs crypto et hors États-Unis pour les événements sensibles, alors que Kalshi peut attaquer le marché américain de plein fouet.

    Les prochains coups de Kalshi

    Parmi les annonces qui fuitent :

    • Un partenariat majeur avec CNN (probablement pour des marchés en direct pendant les émissions)
    • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
    • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
    • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z

    Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

    • Une chaîne de cafés qui hedge contre une hausse du prix du café arabica
    • Un transporteur aérien qui se protège contre une explosion du prix du kérosène
    • Une entreprise tech de la côte Ouest qui couvre le risque de séisme ou incendie
    • Un média qui hedge contre un shutdown du gouvernement américain

    Kalshi devient ainsi un outil de gestion de risque ultra-précis, bien plus flexible que les produits dérivés traditionnels.

    Les investisseurs qui ont dit « oui » à 11 milliards

    Le tour de table a été mené par Paradigm (retour en force après le tour précédent), accompagné de :

    • Sequoia Capital
    • Andreessen Horowitz (a16z)
    • CapitalG (le growth fund de Google)
    • Henry Kravis (oui, le K de KKR en personne)

    Autant dire que tout le gotha de la Silicon Valley a misé sur le même cheval. Quand ces quatre-là s’alignent sur une valorisation aussi élevée, c’est que quelque chose de profond est en train de se passer.

    Polymarket dans le rétroviseur… ou pas

    Impossible de parler de Kalshi sans évoquer son grand rival Polymarket, la plateforme décentralisée basée sur blockchain (Polygon) qui a elle aussi explosé pendant l’élection 2024.

    Polymarket était même en discussions pour lever à 12-15 milliards de valorisation en octobre (selon Bloomberg). Sauf que… la levée n’a jamais été annoncée. Pendant ce temps, Kalshi, version centralisée et régulée, a bouclé la sienne en un temps record.

    La morale ? Dans la fintech, la conformité réglementaire reste un moat énorme. Polymarket reste cantonné aux utilisateurs crypto et hors États-Unis pour les événements sensibles, alors que Kalshi peut attaquer le marché américain de plein fouet.

    Les prochains coups de Kalshi

    Parmi les annonces qui fuitent :

    • Un partenariat majeur avec CNN (probablement pour des marchés en direct pendant les émissions)
    • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
    • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
    • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z

    Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

  • Octobre 2025 → 300 millions levés à 5 milliards de valorisation
  • Décembre 2025 → 1 milliard levés à 11 milliards de valorisation
  • Soit une multiplication par 2,2 en moins de 60 jours
  • Cette trajectoire rappelle les folles heures de 2021, quand Clubhouse ou Hopin levaient des centaines de millions sur simple promesse. Sauf qu’ici, Kalshi a déjà un produit qui tourne, une licence CFTC (le graal réglementaire américain pour ce type d’activité) et surtout un volume d’affaires explosif.

    Qu’est-ce que Kalshi, au juste ?

    À la base, Kalshi est une plateforme réglementée de marchés de prédiction (prediction markets). Vous pouvez y acheter ou vendre des contrats sur quasiment n’importe quel événement futur mesurable : qui gagnera l’élection présidentielle ? Quel sera le PIB américain au T4 ? Les Lakers battront-ils les Celtics ? Va-t-on avoir plus de 30°C à New York en juillet ?

    Contrairement aux paris sportifs classiques ou aux bookmakers, Kalshi est régulé par la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) en tant que Designated Contract Market. Cela lui donne une légitimité énorme auprès des institutionnels et lui permet d’opérer légalement aux États-Unis sur des événements non-sportifs (élections, météo, macroéconomie…).

    « Les marchés de prédiction sont les outils les plus précis qui existent pour prévoir l’avenir. Ils agrègent l’intelligence collective mieux que n’importe quel sondage ou expert. »

    – Tarek Mansour, cofondateur et CEO de Kalshi

    Pourquoi cette explosion soudaine ?

    L’élection présidentielle américaine de 2024 a évidemment joué le rôle de catalyseur. Des millions d’Américains ont découvert Kalshi en pariant sur Trump vs Harris. Mais le plus intéressant, c’est que l’engouement n’est pas retombé après le scrutin.

    Au contraire. Selon le New York Times, une large partie du volume actuel provient… des paris sportifs ! Kalshi a su attirer les parieurs traditionnels avec des frais plus bas et une interface plus moderne que les FanDuel ou DraftKings.

    Mais le vrai jackpot à venir, c’est l’utilisation par les entreprises pour hedger leurs risques. Imaginez :

    • Une chaîne de cafés qui hedge contre une hausse du prix du café arabica
    • Un transporteur aérien qui se protège contre une explosion du prix du kérosène
    • Une entreprise tech de la côte Ouest qui couvre le risque de séisme ou incendie
    • Un média qui hedge contre un shutdown du gouvernement américain

    Kalshi devient ainsi un outil de gestion de risque ultra-précis, bien plus flexible que les produits dérivés traditionnels.

    Les investisseurs qui ont dit « oui » à 11 milliards

    Le tour de table a été mené par Paradigm (retour en force après le tour précédent), accompagné de :

    • Sequoia Capital
    • Andreessen Horowitz (a16z)
    • CapitalG (le growth fund de Google)
    • Henry Kravis (oui, le K de KKR en personne)

    Autant dire que tout le gotha de la Silicon Valley a misé sur le même cheval. Quand ces quatre-là s’alignent sur une valorisation aussi élevée, c’est que quelque chose de profond est en train de se passer.

    Polymarket dans le rétroviseur… ou pas

    Impossible de parler de Kalshi sans évoquer son grand rival Polymarket, la plateforme décentralisée basée sur blockchain (Polygon) qui a elle aussi explosé pendant l’élection 2024.

    Polymarket était même en discussions pour lever à 12-15 milliards de valorisation en octobre (selon Bloomberg). Sauf que… la levée n’a jamais été annoncée. Pendant ce temps, Kalshi, version centralisée et régulée, a bouclé la sienne en un temps record.

    La morale ? Dans la fintech, la conformité réglementaire reste un moat énorme. Polymarket reste cantonné aux utilisateurs crypto et hors États-Unis pour les événements sensibles, alors que Kalshi peut attaquer le marché américain de plein fouet.

    Les prochains coups de Kalshi

    Parmi les annonces qui fuitent :

    • Un partenariat majeur avec CNN (probablement pour des marchés en direct pendant les émissions)
    • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
    • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
    • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z

    Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

    • Octobre 2025 → 300 millions levés à 5 milliards de valorisation
    • Décembre 2025 → 1 milliard levés à 11 milliards de valorisation
    • Soit une multiplication par 2,2 en moins de 60 jours

    Cette trajectoire rappelle les folles heures de 2021, quand Clubhouse ou Hopin levaient des centaines de millions sur simple promesse. Sauf qu’ici, Kalshi a déjà un produit qui tourne, une licence CFTC (le graal réglementaire américain pour ce type d’activité) et surtout un volume d’affaires explosif.

    Qu’est-ce que Kalshi, au juste ?

    À la base, Kalshi est une plateforme réglementée de marchés de prédiction (prediction markets). Vous pouvez y acheter ou vendre des contrats sur quasiment n’importe quel événement futur mesurable : qui gagnera l’élection présidentielle ? Quel sera le PIB américain au T4 ? Les Lakers battront-ils les Celtics ? Va-t-on avoir plus de 30°C à New York en juillet ?

    Contrairement aux paris sportifs classiques ou aux bookmakers, Kalshi est régulé par la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) en tant que Designated Contract Market. Cela lui donne une légitimité énorme auprès des institutionnels et lui permet d’opérer légalement aux États-Unis sur des événements non-sportifs (élections, météo, macroéconomie…).

    « Les marchés de prédiction sont les outils les plus précis qui existent pour prévoir l’avenir. Ils agrègent l’intelligence collective mieux que n’importe quel sondage ou expert. »

    – Tarek Mansour, cofondateur et CEO de Kalshi

    Pourquoi cette explosion soudaine ?

    L’élection présidentielle américaine de 2024 a évidemment joué le rôle de catalyseur. Des millions d’Américains ont découvert Kalshi en pariant sur Trump vs Harris. Mais le plus intéressant, c’est que l’engouement n’est pas retombé après le scrutin.

    Au contraire. Selon le New York Times, une large partie du volume actuel provient… des paris sportifs ! Kalshi a su attirer les parieurs traditionnels avec des frais plus bas et une interface plus moderne que les FanDuel ou DraftKings.

    Mais le vrai jackpot à venir, c’est l’utilisation par les entreprises pour hedger leurs risques. Imaginez :

    • Une chaîne de cafés qui hedge contre une hausse du prix du café arabica
    • Un transporteur aérien qui se protège contre une explosion du prix du kérosène
    • Une entreprise tech de la côte Ouest qui couvre le risque de séisme ou incendie
    • Un média qui hedge contre un shutdown du gouvernement américain

    Kalshi devient ainsi un outil de gestion de risque ultra-précis, bien plus flexible que les produits dérivés traditionnels.

    Les investisseurs qui ont dit « oui » à 11 milliards

    Le tour de table a été mené par Paradigm (retour en force après le tour précédent), accompagné de :

    • Sequoia Capital
    • Andreessen Horowitz (a16z)
    • CapitalG (le growth fund de Google)
    • Henry Kravis (oui, le K de KKR en personne)

    Autant dire que tout le gotha de la Silicon Valley a misé sur le même cheval. Quand ces quatre-là s’alignent sur une valorisation aussi élevée, c’est que quelque chose de profond est en train de se passer.

    Polymarket dans le rétroviseur… ou pas

    Impossible de parler de Kalshi sans évoquer son grand rival Polymarket, la plateforme décentralisée basée sur blockchain (Polygon) qui a elle aussi explosé pendant l’élection 2024.

    Polymarket était même en discussions pour lever à 12-15 milliards de valorisation en octobre (selon Bloomberg). Sauf que… la levée n’a jamais été annoncée. Pendant ce temps, Kalshi, version centralisée et régulée, a bouclé la sienne en un temps record.

    La morale ? Dans la fintech, la conformité réglementaire reste un moat énorme. Polymarket reste cantonné aux utilisateurs crypto et hors États-Unis pour les événements sensibles, alors que Kalshi peut attaquer le marché américain de plein fouet.

    Les prochains coups de Kalshi

    Parmi les annonces qui fuitent :

    • Un partenariat majeur avec CNN (probablement pour des marchés en direct pendant les émissions)
    • Le lancement de contrats sur les résultats d’entreprise (bénéfices, CA, etc.)
    • Une expansion internationale (Europe ? Asie ?)
    • Une application mobile repensée pour capter encore plus les millennials et Gen Z

    Et nous disent les marchés de prédiction sur 2026 ?

    Amusons-nous un peu. Au moment où j’écris ces lignes, voici quelques contrats intéressants sur Kalshi :

    • Récession US en 2026 → 24% de probabilité
    • Bitcoin > 150 000 $ fin 2026 → 42%
    • Trump signe une loi sur la crypto avant fin 2026 → 67%
    • Taux directeur Fed < 3% fin 2026 → 58%

    Les marchés de prédiction deviennent ainsi un indicateur avancé ultra-puissant pour les investisseurs, les entreprises et même les gouvernements.

    Leçons business à retenir de l’ascension de Kalshi

    Si vous êtes fondateur, CMO ou investisseur, voici ce que cette histoire nous enseigne :

    1. Le timing réglementaire parfait : Kalshi a obtenu sa licence CFTC juste avant l’élection 2024. Coup de génie.
    2. Le produit « fun » qui cache un outil B2B sérieux : commencer par le grand public pour ensuite vendre aux entreprises, la recette magique de Stripe, Twilio ou Plaid.
    3. La viralité événementielle : un événement médiatique mondial (élection) peut propulser une startup dans la stratosphère si le produit est prêt.
    4. La valorisation n’est plus corrélée au chiffre d’affaires : à 11 milliards, Kalshi reste probablement sous les 500M de revenus annuels. Nous sommes revenus en 2021.

    Conclusion : vers un monde où tout est « tradable » ?

    Kalshi ne s’arrêtera pas là. À terme, la vision est de permettre à n’importe qui (particulier ou entreprise) de se couvrir contre n’importe quel risque mesurable. Météo, politique, santé publique, résultats sportifs, cours des matières premières… tout devient un actif financier.

    Nous assistons peut-être à la naissance d’un nouveau pilier de la finance moderne, au même titre que les actions, les obligations ou les cryptomonnaies. Et dire que tout a commencé par quelques paris sur une élection…

    Une chose est sûre : en 2025, la phrase « mettre une pièce sur l’avenir » n’a jamais été aussi littérale.

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